En Auvergne comme en Limousin, la "Der des Ders" ne s’est pas achevée à la 11e heure, du 11e jour, du 11e mois de l’année 1918. Ni avec la disparition, en 2008, à Brioude (Haute-Loire), de Louis de Cazenave, l’avant-dernier poilu français survivant.
Des villes en campagnes, dans la pierre et dans les mémoires, en Auvergne comme en Limousin, si loin du front, les maux de l'histoire, un siècle après l'Armistice, ont laissé des traces indélébiles.
UNE PRODUCTION